Maladie – Horus-medical http://www.horus-medical.fr car la santé est importante Thu, 21 Sep 2023 06:28:33 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.7.9 http://www.horus-medical.fr/wp-content/uploads/2019/05/cropped-71c25c61-83be-4bec-95cd-98825fbb5e21-1-32x32.png Maladie – Horus-medical http://www.horus-medical.fr 32 32 Que savoir sur l’inconscient ? http://www.horus-medical.fr/que-savoir-sur-linconscient/ http://www.horus-medical.fr/que-savoir-sur-linconscient/#respond Thu, 21 Sep 2023 06:28:33 +0000 http://www.horus-medical.fr/?p=228 D’un point de vue psychologique, l’être humain est constitué d’un conscient et d’un inconscient. Mais ce n’est pas souvent le conscient qui dirige. L’inconscient peut être représenté comme
étant une sorte de boîte noire qui enregistre tous nos faits et gestes sans exception. C’est là aussi que tous les conflits non digérés, les rancœurs, les rancunes, les culpabilités, les souvenirs désagréables, les traumatismes insupportables ou innommables sont enfermés.

Entre la conscience et l’inconscience, laquelle fait le choix ?

La plupart du temps, c’est l’inconscient qui organise les choix qui sont faits par un individu, et non le conscient. Ces choix sont faits totalement à notre insu. Nous pensons faire un acte volontaire ou prendre une décision réfléchie pour une raison bien déterminée, alors qu’en fait c’est notre inconscient qui nous a poussé à faire tel ou tel choix pour une cause plus ou moins avouable.
Par exemple, lors du choix entre deux emplois, une personne va se décider en se disant par exemple : « Il est bien parce qu’il n’est pas très loin de chez moi, et qu’il me laissera du temps pour mes loisirs ». Ce sont des raisons conscientes et officielles. Mais la réalité est tout autre. En fait, cette personne a choisi inconsciemment le métier ne réservant aucun avenir, ni aucune possibilité d’avancement et sans aucun intérêt pour elle.
Pourquoi n’a-t-elle pas choisi le métier le plus intéressant ? Une explication possible est que ses parents lui répétaient sans cesse, lorsqu’elle était enfant, qu’elle ne valait rien et donc qu’elle n’arriverait jamais à rien dans la vie. Ces remarques se sont gravées au fur et à mesure dans son subconscient. Elle a été ainsi programmée à son insu, elle suit donc le programme qui a été ainsi enregistré dans son inconscient.

Essayez la PNL

La psychanalyse, certaines psychothérapies, la PNL (programmation neurolinguistique) permettent de trouver les motivations profondes qui ont poussé la personne à choisir ou à réaliser telle action plutôt que telle autre. Ces techniques permettent ainsi de mieux connaître le contenu de l’inconscient d’un individu, ce qui lui permettra, s’il le désire, de se défaire de ses conduites limitantes ou bloquantes l’empêchant de se réaliser dans sa plénitude.

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Des conseils pour soutenir une personne atteinte d’une maladie mentale http://www.horus-medical.fr/des-conseils-pour-soutenir-une-personne-atteinte-dune-maladie-mentale/ http://www.horus-medical.fr/des-conseils-pour-soutenir-une-personne-atteinte-dune-maladie-mentale/#respond Wed, 16 Mar 2022 11:32:31 +0000 http://www.horus-medical.fr/?p=203 Quand des proches sont malades, notre premier réflexe est de chercher des médicaments pour les soulager, voire les guérir. La tâche est deux fois plus complexe quand ils font face à des maux internes. Afin de mieux les soutenir dans leurs batailles, voici quelques conseils pour aider vos proches atteints de problèmes mentaux.

Avant tout : prenez soin de vous

soins

Il est impossible de donner d’aider autrui en étant fatigué, et désemparé face à la situation. Il est nécessaire de faire les choses petit à petit sans vous brusquer afin d’éviter de créer d’autres potentiels conflits. Aussi, prendre soin de vous implique de connaître vos limites. Si vous sentez que vous ne pouvez pas prendre soin de la personne pour le moment, ne vous mettez pas la pression. Ainsi, si besoin est, faites-vous aider pour mieux soutenir votre proche en détresse.

Soyez empathique et patient

patience ecoute

Maintenant que vous vous sentez capable d’aider votre être aimé, le mieux que vous pouvez faire, c’est de l’écouter et d’essayer de comprendre sa perspective. Il est certain que vous avez votre propre opinion au sujet de la situation. Cependant, c’est elle qui compte pour le moment. Au lieu de lui notifier ce qu’elle n’arrive pas à faire, même si ce sont des tâches considérées comme faciles, montrez-lui que vous voyez les efforts qu’elle fait. Vous devriez ainsi, apprendre à remarquer les petits détails qui peuvent être anodins.

Faites des recherches sur sa condition

recherche information sante

Afin de vous armer pour les prochains jours, il est recommandé de se documenter sur la maladie dont votre proche est atteint. Il existe des forums en ligne pour chaque maladie mentale, vous y trouverez des personnes dans la même situation que vous. Les livres ainsi que des supports numériques comme des documentaires ou des podcasts, s’avèrent également être d’une grande aide. Si vous êtes de nature sociable, les groupes de soutien sont le meilleur endroit pour trouver du soutien.

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S’informer sur les effets secondaires de la chimiothérapie http://www.horus-medical.fr/sinformer-sur-les-effets-secondaires-de-la-chimiotherapie/ http://www.horus-medical.fr/sinformer-sur-les-effets-secondaires-de-la-chimiotherapie/#respond Mon, 06 Jul 2020 19:11:13 +0000 http://www.horus-medical.fr/?p=149 Jusqu’à ce jour, la chimiothérapie est le meilleur traitement pour les personnes atteintes de cancer. Elle agit en visant directement les cellules cancéreuses présentes dans tout l’organisme. Cependant, elle a également une action sur les cellules saines qui n’est pas sans conséquence. Il est alors important pour les personnes qui sont sous ce traitement de connaitre ses effets secondaires. Voici quelques-uns d’entre eux qui sont les plus communs.

Des troubles au niveau du ventre

Les effets secondaires les plus fréquents de la chimiothérapie sont les différents troubles gastriques. C’est le cas de la diarrhée qui est provoquée par certains effets des médicaments. Pour soulager celle-ci, il est conseillé de beaucoup d’hydrater au quotidien. C’est également le cas des nausées et des vomissements incontrôlables. En général, ils apparaissent dès les premiers jours suivant le début de la chimiothérapie.
Ces désagréments diminuent en intensité au bout de quelques jours seulement. Dans le cas où ils sont persistants, il est important d’en informer le médecin au plus vite. Ce dernier pourra prescrire des médicaments pour soulager les douleurs. Dans certains cas, il faudra suspendre la chimiothérapie pour que les effets secondaires s’arrêtent.

Une grande fatigue et la perte de l’appétit

Les effets de la chimiothérapie peuvent rendre le patient morose et il perd l’envie de certaines choses. C’est le cas de l’appétit par exemple. Les médicaments qui composent la chimiothérapie changent le goût de la nourriture, rendant ceux-ci fades et métalliques. Il est tout à fait normal de ne ressentir aucune envie de manger.
Dans ce cas, il est conseillé de bien épicer les plats et manger en petite quantité, mais à plusieurs reprises au cours de la journée. Pour les cas de grande fatigue, ils apparaissent également en début de traitement. Le corps va devoir s’y habituer avant de reprendre petit à petit de l’énergie.

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Qu’est-ce que le TDAH ? http://www.horus-medical.fr/quest-ce-que-le-tdah/ http://www.horus-medical.fr/quest-ce-que-le-tdah/#respond Fri, 15 May 2020 10:43:50 +0000 http://www.horus-medical.fr/?p=141 Vous avez entendu parler de TDAH, mais vous ignorez de quoi il s’agit exactement ? Si vous n’en souffrez pas, cela ne devrait pas vous empêcher de vous informer sur le sujet parce qu’il peut toucher un proche. Vous saurez alors comment réagir et comment agir. Le TDAH est le trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité. Il semble que ce trouble a toujours existé bien qu’on ne l’ait identifié cliniquement qu’au début du XXe siècle. A l’origine, on l’a appelé « syndrome de l’enfant hyperactif » puis « trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité », ensuite « trouble d’hyperactivité avec déficit d’attention » et enfin TDAH.

Au cœur du TDAH

Existe-t-il des signes visibles, des symptômes démontrant qu’une personne est atteinte de TDAH ? Souvent, les personnes qui en souffrent ont du mal à rester attentives et à se concentrer, quelle que soit la tâche à laquelle elles sont occupées. Cela rend difficile, voire impossible, de mener à terme une tâche, aussi aisée soit-elle. Elles peinent à rester en place, elles sont impatientes et agissent souvent de manière impulsive. Il est vrai que de nombreuses personnes agissent ainsi de temps en temps, selon les circonstances, et notamment les enfants. Mais chez celles atteintes de TDAH, ces comportements sont présents tout le temps et de façon très prononcée. C’est surtout chez les enfants que l’on remarque souvent le TDAH, mais il peut perdurer jusqu’à l’adolescence, voire jusqu’à l’âge adulte. En effet, il semble que 4 % des adultes en soient touchés. Dans certains cas, il n’est diagnostiqué qu’à cette période de leur vie. Sur https://tdah-adulte.net, vous trouverez des infos sur comment gérer ce trouble chez les adultes. En tout cas, les signes les plus caractéristiques du TDAH sont les suivants : l’inattention, l’impulsivité et l’hyperactivité. Cependant, les études ont montré que l’impulsivité et l’hyperactivité sont plus prononcées chez les garçons, bien que des filles puissent aussi être extrêmement impulsives et hyperactives.

Le diagnostic du TDAH

Le diagnostic du TDAH n’est pas aussi facile qu’on pourrait le penser, pour la simple raison que d’autres troubles plus ou moins associés au TDAH peuvent aussi avoir les mêmes symptômes. Donc, pour établir un diagnostic sûr, les médecins vont effectuer un examen approfondi du milieu de vie de l’enfant (le TDAH est souvent remarqué dans l’enfance) que de l’enfant lui-même. En premier lieu, il va se concentrer sur le développement psychomoteur de l’enfant, avec l’aide des parents. Ces derniers devraient lui donner toutes les informations sur son développement depuis sa naissance. Il pourrait aussi demander à discuter avec les enseignants de l’enfant. Pour faire une évaluation de son quotient intellectuel, le médecin peut recourir à des tests neuropsychologiques et psychologiques. Mais quoi qu’il en soit, pour confirmer un diagnostic, il faut que les symptômes soient visibles avant le 7ème anniversaire de l’enfant. Ceux-ci doivent se manifester en toutes circonstances et en tous lieux, qu’ils soient intenses ou non. Ces symptômes doivent être présents depuis 6 mois au minimum. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de traiter efficacement le TDAH, mais à condition qu’il soit dépisté tôt dans l’enfance.

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Grossesse et hypertension artérielle : les risques http://www.horus-medical.fr/grossesse-et-hypertension-arterielle-les-risques/ http://www.horus-medical.fr/grossesse-et-hypertension-arterielle-les-risques/#respond Fri, 12 Oct 2018 11:09:29 +0000 http://www.horus-medical.fr/?p=10 L’hypertension artérielle gravidique ou l’hypertension pré éclampsie vous dit peut-être quelques choses ? Il s’agit d’une forme d’hypertension artérielle qui peut toucher les femmes enceintes. Or, c’est quelque chose qui n’est pas du tout sans risque. Par conséquent, la question mérite d’attirer toute votre attention.

Comment savoir qu’une femme enceinte souffre d’une hypertension artérielle ?

Il n’y a pas de symptôme particulier qui permet de savoir qu’une femme enceinte souffre d’une hypertension artérielle. En effet, il va falloir effectuer un examen médical pour le connaître. Il est alors très important de suivre de près l’état de santé de la femme tout au long de sa grossesse. D’ailleurs, les médecins effectuent généralement un suivi régulier de la tension et font effectuer des tests d’urine très fréquemment. Une élévation anormale du taux d’albumine dans les urines est remarquée si jamais la femme concernée souffre d’une hypertension. On peut également se fier à la présence de protéines dans les urines. Sinon, il est fortement conseillé de consulter son médecin traitant dès qu’on ne se sent pas très bien notamment lorsqu’on a des maux de tête, des nausées et vomissements, des essoufflements, des troubles de vision ou encore des œdèmes qui apparaissent au niveau des pieds et du visage.

A quel type de danger le fœtus et la mère font-ils face ?

La mère et le fœtus sont tous les deux exposés à des risques importants si jamais la mère souffre d’une hypertension artérielle. Il est fort possible que le fœtus soit atteint d’un retard de croissance. Son poids peut alors être très faible lorsqu’il vient au monde. Aussi, il y a de grandes chances que le bébé naisse prématurément puisque le décollement du placenta est un problème auquel on doit s’y préparer face à ce genre de situation. De son côté, la mère peut souffrir de complications hépatiques, de convulsions, de coagulation du sang ainsi que d’hémorragie cérébrale.

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Le cancer et les médecines complémentaires http://www.horus-medical.fr/le-cancer-et-les-medecines-complementaires/ http://www.horus-medical.fr/le-cancer-et-les-medecines-complementaires/#respond Thu, 10 Aug 2017 11:57:39 +0000 http://www.horus-medical.fr/?p=20 De 30 à 60% des patients atteints de cancer suivent un traitement alternatif issu des médecines complémentaires. Seulement 46% d’entre eux en parlent à leur médecin traitant. Le problème arrive réellement lorsque la personne abandonne l’allopathie pour les traitements complémentaires.

Les médecines complémentaires doivent être des suppléments

A ce jour, seuls les traitements conventionnels peuvent apporter des preuves chiffrées sur la guérison du cancer. A l’instar de la chirurgie et de la chimiothérapie, ce sont des méthodes validées scientifiquement et cliniquement. De leur côté, les médecines complémentaires apportent également leur aide, notamment en assurant le bien-être des patients. Elles aident pour le soulagement de la douleur ou l’accompagnement psychologique. De toute manière, il est important d’informer l’oncologue et l’équipe soignante.

Des traitements non conventionnels pour mieux supporter la thérapie classique

A l’instar de la chirurgie, les traitements conventionnels du cancer sont généralement invasifs. Ils occasionnent des douleurs et divers désagréments. Les médecines complémentaires doivent aider à mieux supporter les effets secondaires du traitement médical en cours. Elles devraient également permettre au patient de moins stresser face à la situation. La chimiothérapie peut entrainer de profonds changements au point que la personne ne se reconnaisse plus après plusieurs séances. Le pronostic vital est également en jeu. Ce qui accable encore plus ces malades.

Quelques méthodes complémentaires sérieuses tolérées par la médecine moderne

Existant depuis des millénaires, l’Yoga a apporté ses fruits contre les maladies graves. Cette discipline orientale s’appuie sur la posture, la respiration ainsi que la méditation. Elle est efficace pour retrouver une bonne souplesse. Ce serait également une méthode adéquate pour maintenir la tension artérielle. L’acupuncture est une autre méthode orientale basée sur les aiguilles qu’il faut poser à des points précis du corps. Elle renforce le système immunitaire tout en augmentant la résistance à la douleur. L’ostéopathie ainsi que les massages thérapeutiques sont reconnus en France.

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